AUC - Caroline Poulin, François Decoster et Djamel Klouche - Grand Prix de l'urbanisme
« La ville, matière vivante », telle est la doxa de l’AUC, lauréats du grand prix de l’urbanisme en 2021.
https://www.dailymotion.com/video/x87m6i4
La ville, matière vivante, L’ A U C, Grand Prix de l’urbanisme 2021
Ariella Masboungi et Antoine Petitjean (sous la direction de)
Matière vivante, la ville en mouvement ne doit se laisser enfermer ni par les carcans juridiques, réglementaires ou financiers ni par les pensées dominantes d’une époque contemporaine exposée à moult turbulences. Accompagner plutôt qu’imposer l’évolution d’un lieu, s’inspirer de la vitalité de ses habitants et aborder l’architecture par l’observation minutieuse des usages jusqu’à l’échelle de la métropole : autant de constantes pour l’AUC, équipe lauréate du Grand Prix de l’urbanisme 2021. Ceux qui, pour avoir été la plus jeune équipe de la consultation du Grand Paris, pourraient passer pour les « enfants terribles » de l’urbanisme, ont choisi un nom révélateur : Ab urbe condita (« Depuis la fondation de la ville »). Une formule qui claque comme un étendard et affiche l’ambition que partagent François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin de s’emparer de la question urbaine de manière exigeante, précise et libre de tout dogme ou héritage pesant. Une locution valant aussi programme, leur action se déploie des projets d’architecture aux projets urbains, voire métropolitains, qu’ils mettent en parole et en dessin d’une façon souvent peu orthodoxe.
Cet ouvrage retrace également les parcours des personnalités nominées. L’économiste Laurent Davezies qui, avec son livre au titre provocateur L’État a toujours soutenu ses territoires, a stimulé la sphère de l’urbanisme en 2021. Mais aussi le duo TVK (Pierre Alain Trévelo et Antoine Viger-Kohler), dont le talent de jongler avec les infrastructures de la modernité a trouvé un aboutissement dans « La Terre est une architecture » : une installation exposée à la Biennale de Venise 2021, qui explore les modalités d’établissement de médiations fertiles entre sociétés humaines et monde naturel.
Cette année encore, le Grand Prix souligne combien, en s’enrichissant constamment d’une diversité d’approches, l’urbanisme contribue à l’invention et à la réalisation d’un futur vivable, et, mieux encore, désirable !
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La ville, matière vivante, L’ A U C, Grand Prix de l’urbanisme 2021
Ariella Masboungi et Antoine Petitjean (sous la direction de)
Matière vivante, la ville en mouvement ne doit se laisser enfermer ni par les carcans juridiques, réglementaires ou financiers ni par les pensées dominantes d’une époque contemporaine exposée à moult turbulences. Accompagner plutôt qu’imposer l’évolution d’un lieu, s’inspirer de la vitalité de ses habitants et aborder l’architecture par l’observation minutieuse des usages jusqu’à l’échelle de la métropole : autant de constantes pour l’AUC, équipe lauréate du Grand Prix de l’urbanisme 2021. Ceux qui, pour avoir été la plus jeune équipe de la consultation du Grand Paris, pourraient passer pour les « enfants terribles » de l’urbanisme, ont choisi un nom révélateur : Ab urbe condita (« Depuis la fondation de la ville »). Une formule qui claque comme un étendard et affiche l’ambition que partagent François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin de s’emparer de la question urbaine de manière exigeante, précise et libre de tout dogme ou héritage pesant. Une locution valant aussi programme, leur action se déploie des projets d’architecture aux projets urbains, voire métropolitains, qu’ils mettent en parole et en dessin d’une façon souvent peu orthodoxe.
Cet ouvrage retrace également les parcours des personnalités nominées. L’économiste Laurent Davezies qui, avec son livre au titre provocateur L’État a toujours soutenu ses territoires, a stimulé la sphère de l’urbanisme en 2021. Mais aussi le duo TVK (Pierre Alain Trévelo et Antoine Viger-Kohler), dont le talent de jongler avec les infrastructures de la modernité a trouvé un aboutissement dans « La Terre est une architecture » : une installation exposée à la Biennale de Venise 2021, qui explore les modalités d’établissement de médiations fertiles entre sociétés humaines et monde naturel.
Cette année encore, le Grand Prix souligne combien, en s’enrichissant constamment d’une diversité d’approches, l’urbanisme contribue à l’invention et à la réalisation d’un futur vivable, et, mieux encore, désirable !
Mis à jour le 1 mars 2022
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