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L’urbanisme transitoire connaît un essor important depuis les années 2010
Les études récemment produites sur le sujet affirment en général que ces processus éphémères participent à la création de valeurs : gain économique pour les propriétaires, dynamiseur de vie urbaine pour les collectivités, locaux à bas prix et environnement créatif pour les occupants, accompagnement d’initiatives citoyennes pour les associations partenaires. L’évaluation des projets d’urbanisme transitoire n’en est pourtant aujourd’hui qu’à ses prémisses et ne permet pas encore de qualifier clairement les impacts sociaux et urbains de ces projets. Face à la pression du marché et l’engouement de la profession, il est pourtant important de se doter d’indicateurs d’évaluation explicites sur les impacts de ces démarches.
Dans ce contexte, l’étude conduite par Laure Gayet et Kelly Ung de l’Atelier APPROCHES, soutenue par le PUCA, la Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et des Paysages, la Fondation de France et l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires permet de répondre aux questions suivantes :
Comment évaluer les impacts sociaux de l’urbanisme transitoire sur le territoire ?
Au-delà des indicateurs quantitatifs, quels critères pour qualifier ce que l’urbanisme transitoire produit en termes de richesse sociale ?
En quoi l’urbanisme transitoire peut-il constituer un outil de stratégie territoriale ?
Dans le même temps, les concepts de « communs » et de « biens communs » rencontrent un intérêt inédit dans le domaine du développement urbain. On en observe un usage intensif, qu’il s’agisse de justifier des opérations d’origine publique ou des projets d’initiative citoyenne, dans des domaines aussi divers que la transition énergétique, le développement urbain durable, la gestion des ressources naturelles ou des lieux publics, le développement de l’économie circulaire, la préservation de la biodiversité. Cet engouement interroge et mérite qu’on y porte une attention particulière. Ces démarches cristallisent un certain nombre de problématiques transversales contemporaines et les inscrivent dans un cadre qui se veut nouveau. Elles semblent traduire un dépassement des limites du partage traditionnel entre le domaine de l’action publique seule capable d’incarner le collectif et celui de l’initiative privée réduite à l’intérêt individuel. Se posent alors plusieurs types de questions :
Que sont ces « nouveaux » communs et en quoi consistent-ils concrètement ?
Comment mobilisent-ils le territoire, ses ressources et ses acteurs ?
Dessinent-ils les contours d’une nouvelle manière de faire territoire ?
Autant de questions auxquelles la recherche conduite par Leïla Kebir et Fréderic Wallet apporte des éléments de réponse.
Dans ce contexte, l’étude conduite par Laure Gayet et Kelly Ung de l’Atelier APPROCHES, soutenue par le PUCA, la Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et des Paysages, la Fondation de France et l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires permet de répondre aux questions suivantes :
Comment évaluer les impacts sociaux de l’urbanisme transitoire sur le territoire ?
Au-delà des indicateurs quantitatifs, quels critères pour qualifier ce que l’urbanisme transitoire produit en termes de richesse sociale ?
En quoi l’urbanisme transitoire peut-il constituer un outil de stratégie territoriale ?
Dans le même temps, les concepts de « communs » et de « biens communs » rencontrent un intérêt inédit dans le domaine du développement urbain. On en observe un usage intensif, qu’il s’agisse de justifier des opérations d’origine publique ou des projets d’initiative citoyenne, dans des domaines aussi divers que la transition énergétique, le développement urbain durable, la gestion des ressources naturelles ou des lieux publics, le développement de l’économie circulaire, la préservation de la biodiversité. Cet engouement interroge et mérite qu’on y porte une attention particulière. Ces démarches cristallisent un certain nombre de problématiques transversales contemporaines et les inscrivent dans un cadre qui se veut nouveau. Elles semblent traduire un dépassement des limites du partage traditionnel entre le domaine de l’action publique seule capable d’incarner le collectif et celui de l’initiative privée réduite à l’intérêt individuel. Se posent alors plusieurs types de questions :
Que sont ces « nouveaux » communs et en quoi consistent-ils concrètement ?
Comment mobilisent-ils le territoire, ses ressources et ses acteurs ?
Dessinent-ils les contours d’une nouvelle manière de faire territoire ?
Autant de questions auxquelles la recherche conduite par Leïla Kebir et Fréderic Wallet apporte des éléments de réponse.
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